Baptiste Giabiconi effondré par la mort de Karl Lagerfeld : il raconte

il y a 4 ans - Article rédigé par la rédaction du magazine Star24

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Il y a quelques jours, Baptiste Giabiconi se confiait avec beaucoup d'émotions sur sa relation particulière avec Karl Lagerfeld. Malgré le manque du créateur, le beau brun a relevé la tête et a tenté de lui rendre un bel hommage en sortant un livre dédié à lui. STAR24 revient aujourd'hui sur le jour où tout a basculé.

Cela fait maintenant un an que Karl Lagerfeld est décédé à l'age de 85 ans. Une nouvelle qui a laissé le monde de la mode en deuil. En particulier Baptiste Giabiconi dont il était très proche. D'ailleurs, son premier héritier lui a rendu de magnifiques hommages. Le dernier en date est le livre qu'il a écrit concernant leur relation. Sur Facebook, il a célébré sa mémoire pour le premier anniversaire de sa disparition en disant: "Un an. Ce moment où je me suis senti lourd, vide, brisé. Ce moment où la solitude m'a envahi. Ce moment de peur. Ce moment impossible à expliquer. Tout s'est arrêté quand tu m’as quitté. Je sais que tu es avec moi, que tu es la, près de moi. Tu me manques mon ange. Je t’aime".

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Dans son livre Karl et moi, Baptiste Giabiconi est revenu sur le jour où le bras droit du couturier au téléphone. Le mannequin raconte : "Je raccroche. Je balance à l’autre bout de la chambre le téléphone de la mort". Il a eu l'impression d'être "tombé au fond d’un trou de cinquante étage" et avoir poussé "une sorte de gémissement géant". De là, le protégé du créateur a même pensé au pire : "Je vais me suicider. J'y ai pensé, sur le coup. Ce serait normal, le plus simple, la logique. Hop, plus là non plus. Je peux tourner fou, aussi, marteau, enfoncé dans cette douleur jusqu’à ce qu’elle m’anéantisse. Pendant des jours et des jours, j’ai eu du mal à respirer, à bouger, à descendre un escalier, pris par ce trou ouvert sous mes pieds". Pendant plusieurs semaines, Baptiste Giabiconi était inconsolable au point de ne parler à plus personne et à ne plus manger. Même s'il a avancé, a peine est toujours là.

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