Les Youtubeurs Cyprien et Squeezie que l'on savait amis et complices ont décidé de mener leurs abonnés par le bout du nez, et ce, grâce à une idée de faux clash qu du rappeur toulousain d'origine argentine, Bigflo.
Aucun octogone entre Cyprien et Squeezie n'aura lieu...OUF ! Les Youtubeurs de Cyprien Gaming et autres projets ont monté le projet de faux clash, de toutes pièces, dans l'objectif de s'amuser et de faire comprendre aux abonnés qu'il n'y a pas de concurrence entre eux. "Ça commence parce qu'on reçoit de plus en plus de messages sur Twitter de gens qui me demandent si je n'ai pas peur que Squeezie me dépasse", a expliqué Cyprien. "effectivement, selon les courbes, Lucas gagne plus d'abonnés que moi, donc du coup il va me rattraper" a t il ajouté. Les deux hommes, ont voulu marqué le coup.
Des abonnés avaient même créé un compteur d'abonnés en live pour mettre en avant cette pseudo concurrence entre les créateurs de contenu. Les deux amis, ont discuté avec le rappeur Bigflo qui a eu cette idée. Les idées ont fusé pour ces collègues du YoutubeGame pour ce faux clash, entre affiches dans le métro, clips de rap, publicité sur Youtube, Sticker sur la porte de Squeezie. Ils voulaient faire leur promotion au cinéma ou à la télévision, mais ça s'est avéré compliqué à cause du budget.
Le but de Cyprien et Squeezie était bien évidemment de rire. Ils reconnaissent que le fait que leur clash est un peu "foiré", loupé à cause de plusieurs imprévus et rien ne s'est déroulé comme il le fallait. Au final, Cyprien a perdu quelques abonnés et Squeezie ne l'a pas dépassé pour autant. "On n'a même pas laissé le temps aux gens d'être au courant du pseudo-litige". Ce faux clash a suscité plusieurs réactions mitigées. Certains se sont amusés de cette mascarade, comme Wankil qui en a fait une parodie. Squeezie et Cyprien en sont évidemment ravis, ils ont fait ces vidéos pour être taquiner, et d'autres se sont rendus compte de la boutade et ont interprété ça comme un coup de communication : "Habituellement, quand il y a des clashs, ce n'est pas aussi second degré que ce qu'on a fait. Les mecs jouent vraiment le jeu du clash, jusqu'au bout. [...] Je comprends que ça peut être dur de se mettre dans le délire". Autre critique : "Les gens pensaient que c'était vraiment une campagne de comm' financée par un groupe qui a beaucoup d'argent mais c'est nous qui avons raqué, qui avons organisé."
Ils se sont amusés et ils continuent d'en rire malgré que leur plan n'ait pas fonctionné, il y a effectivement des choses à revoir dans leur scénario !
Nina Ramamonjisoa