Kim Glow est dans la tourmente depuis une bonne semaine. Après avoir partagé sa tourmente en étant bloquée en Tunisie, la jeune femme a eu des propos qui ont affolé la Toile même si elle a reçu le soutien de Jessica Thivenin. Harcelée, elle a de nouveau pris la parole.
Souvenez-vous, tout est parti de propos irrespectueux de Kim Glow lié au Coronavirus. "Vous, après le coronavirus, vous allez reprendre votre vie de merde à travailler toute la journée pour un SMIC pour payer vos factures. Moi après le coronavirus, je peux me casser où je veux !", a-t-elle lâché sur Snapchat. De là, la belle brune aurait été menacée de mort et harcelée à ce sujet.
Cela dit, Kim Glow a une explication justifiant ses changements d'humeur. Ainsi, l'ancienne BFF de Shanna Kress a révélé via son compte Instagram: "Je n'en parle jamais. C'est ma mère qui m'a ordonnée de vous en parler. Elle est en récidive d'un cancer. Je ne suis pas bien, elle est limite en train de me préparer à sa mort. Je ne parle jamais de ça. Je ne veux pas du tout se servir de sa maladie, loin de là. Ça m'affecte énormément et quand je lis que vous voulez que ma mère crève, que ma famille crève, oui, j'ai pété un plomb (...) Ça ne justifie pas ce que j'ai dit, mais on peut un petit peu plus comprendre que je suis humaine."
Pas sûr que cela calme les internautes qui appelle déjà au boycott de Kim Glow. Par ailleurs, elle s'était exprimée en larmes: "Ce que j’ai dit est impardonnable, je vous présente mes excuses, je n’en pensais pas un mot. Je n’ai pas voulu manquer de respect à toutes les personnes qui travaillent ni à ma famille, mes amis. J’ai honte d’avoir dit ça et d’être tombée aussi bas. Je défie quiconque de ne pas craquer après avoir lu des milliers de messages de haine des gens qui me souhaitent la mort et d’autres atrocités inimaginables. Je n’essaie pas de justifier mon acte mais juste que vous compreniez à quel point ça peut être dur de lire toutes ces atrocités, ça m’a fait mal, alors j’ai voulu faire mal. Seulement je n’aurais jamais dû dire ça et je m’en excuse".