L'interview de Meghan Markle et Prince Harry accordée à Oprah Winfrey était attendue comme jamais. Celle-ci a été diffusée ce dimanche 7 mars 2021 sur CBS aux Etats Unis. Au cours de cet entretien, l'ancienne star de Suits a fait d'incroyables révélations comme sur ses pensées suicidaires... Ambiance !
Megan Markle s'est livrée sans filtres sur plusieurs points comme sa vie au sein de la famille royale d'Angleterre avant de s'exiler avec son époux et leur fils Archie. L'ancienne actrice a ainsi révélé qu'elle avait songé au pire durant sa première grossesse. De ce fait, celle qui attend un heureux événement pour les mois à venir s'est exprimée sur son mariage, la naissance de son enfant ou encore les questions racistes mais aussi sa relation avec sa belle-sœur Kate Middleton.
Meghan Markle aurait voulu se suicider pendant sa grossesse
C'est lors d'un lendemain d'une soirée au Royal Albert Hall que Meghan Markle s'est rendue compte qu'elle ressentait la sensation de "ne plus vouloir être vivante". A l'époque, elle avait un peu honte d'y penser mais elle savait qu'il était impératif qu'elle en parle malgré un quotidien très compliqué. Fort heureusement, elle a pu compter sur le soutien de son mari.
Meghan Markle a dû prendre plusieurs jours pour se remettre de son mal-être au point de devoir laisser son mari se rendre seul à une soirée alors qu'elle était enceinte de cinq mois. Oprah Winfrey lui demande alors si elle "pensait se faire du mal ou avoir des pensées suicidaires". Ce à quoi elle répond de manière affirmative. Cela dit, la belle brune a insisté pour se rendre à l'événement. Elle poursuit: "On sourit, on fait notre travail, mais on fait tout ce qu’on peut pour ne pas craquer. À chaque fois que les lumières s’éteignaient dans le box royal, je m’effondrais en larmes et lui, il me tenait la main, et puis les lumières se rallumaient, les regards étaient à nouveau sur nous et il fallait se recomposer un visage".
Au lendemain de cette soirée, Meghan Markle se serait confiée à des assistants de la maison royale qui lui auraient répondu que ce serait mal vu : "Ils ont dit qu’ils ne pouvaient rien faire pour moi", tout en ajoutant: "Vous n’êtes pas un membre rémunéré de l’institution".
Fort heureusement tout est loin derrière elle désormais.