Ce n'est pas vraiment la meilleure période pour Benjamin Mendy. Actuellement accusé de viols et d'agression sexuelle par trois femmes, le footballeur français a été placé en détention. Seulement voilà, ce séjour en cellule ne se passe pas comme prévu. STAR24 vous raconte tout.
Benjamin Mendy s'est déjà fait remonter les bretelles à cause de ses excès de vitesse. Mais depuis plusieurs jours, il fait la une de l'actualité pour un sujet beaucoup moins joyeux. En effet, le champion du monde 2018 a été arrêté la semaine dernière et a été suspendu par Manchester United après avoir été soupçonné de viols et d'agression sexuelle sur trois personnes "de plus de 16 ans". Selon les informations communiquées par les autorités judiciaires du comté du Cheshire en Angleterre, les faits se seraient déroulés entre octobre 2020 et août de cette année à son domicile. Le footballeur de 27 ans est en détention provisoire depuis le 26 août dernier.
Benjamin Mendy : les conditions de son emprisonnement dévoilées
Mais Benjamin Mendy ne s'attendait pas à un tel cauchemar. Alors qu'il pensait retrouver sa liberté jusqu'à son jugement dès le lendemain après être comparu devant le tribunal, tout ne s'est pas passé comme prévu. Au de sa fortune et d'une éventuelle envie de prendre la fuite, Benjamin Mendy a été retenu en cellule. Une décision que l'ancienne star de l'OM a du mal à digérer. De plus, il pensait entrer dans l'aile VIP. Or, il a été admis dans l'aile VP (pour personnes vulnérables où sont également maintenus les suspects de délits sexuels).
"Lorsque Mendy est arrivé, le personnel a expliqué qu'il allait rester dans l'aile VP pour sa propre sécurité. Mais peut-être parce qu'il est Français et que son anglais n'est pas excellent, il a mal compris ce qu'ils avaient dit et a pensé qu'il était emmené dans une aile VIP pour célébrités. Il a eu un réveil brutal quand il a vu la cellule et a réalisé avec qui il allait être mélangé. Il n'était pas content et ce fut une expérience très difficile pour lui" a confié une source proche à The Sun. Le cauchemar ne fait que commencer...
