TPMP : Benjamin Ledig avoue avoir menti et en rajoute une couche avec un twerk

il y a 2 ans - Article rédigé par la rédaction du magazine Star24

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En fin de semaine dernière, Benjamin Ledig venait se défendre après avoir posté une vidéo de lui twerkant dans une église en crop top. Seulement voilà, après son passage dans *Touche pas à mon poste,* le jeune homme en a remis une couche en refaisant le même genre de danse plus vêtu... dans un lieu de culte.

Forcément, cela n'est pas passé auprès des internautes mais également auprès des chroniqueurs de Cyril Hanouna. Alors qu'il disait avoit fait cela pour dénoncer l'homophobie dans l'éligse, l'influenceur est revenu sur ses propos et a balancé dans un premier temps lors de sa venue sur le plateau ce mardi 22 février 2022 : "Cette vidéo, ce n’est pas des excuses. c’est très ironique. Je l’ai fait parce que, c’est ce que tout le monde attendait de moi (…) Je suis venu seul pour être le plus sincère et le plus indépendant possible. Je vais revenir sur ce que j’ai dit vendredi. La raison pour laquelle, j’ai posté cette vidéo, ce n’est pas pour combattre les préceptes de l’homophobie, comme je l’ai dit. Ce n’est pas vrai ! La vérité, c’est que c’est une bêtise (…) Je savais le danger auquel je pouvais m’exposer (…) J’ai voulu créer un message derrière cette vidéo, mais il n’y en avait pas. On m’a dit que je ne peux pas être crédible sur un plateau et dire que je n’ai pas de message derrière ma vidéo. Donc, j’en ai créé un et j’ai dit que c’était pour combattre l’homophobie".

Depuis, les parents du Tiktokeur seraient harcelés et menacés. Affecté par la situation, Benjamin Ledig a alors confié : "Je n’ai plus de vie. Je ne peux plus sortir de chez moi. Je ne peux pas me faire livrer mes courses chez moi, parce que le livreur me reconnait. Je n’ai plus de famille, plus d’amis, je n’ai plus rien. Mais ce n’est pas grave, je suis pas là pour faire la victime (…) Je comprends que j’ai blessé des gens (…) Tout le monde me dit de m’excuser. J’ai fait cette vidéo, mais c’est un peu un hymne à la liberté. Cette vidéo, j’ai le droit de la faire (…) Je ne regrette pas (…) Je referais les vidéos (…) Je veux pas dire que je m’excuse, parce que ça serait revenir en arrière (…) Je demande juste qu’on protège mes parents. Leur sécurité n’est pas assurée, alors que leur adresse est partout. Mes amis se sont tabasser aussi".

Un témoignage qui lui a valu les foudres de Baptiste Marchais, youtubeur identitaire et catholique... mais pas que ! Comprenez-vous la vague de haine autour de lui ?

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