Mélanie Dedigama maman : elle se livre sur son accouchement compliqué

il y a 4 ans - Article rédigé par la rédaction du magazine Star24

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Cela fait maintenant une semaine que Mélanie Dedigama et Vincent sont devenus les heureux parents d'une petite fille prénommée Naya. L'occasion pour celle qui paniquait à l'idée de devenir maman de se livrer sur son accouchement difficile. STAR24 vous dit tout.

Dimanche dernier, Mélanie Dedigama officialisait la naissance de son bébé. Il s'agit d'une petite fille prénommée Naya. "C’est très émus et remplis d’émotions qu’avec @vinclrq nous vous présentons NAYA notre fille qui est née à 38 SA +4 jours à 3,550kg et 51 cm ? Qui se porte à merveille et qui nous comble de bonheur et d’amour ❤️ Excusez nous pour ce long silence nous en avions besoin et nous vous remercions pour tous vos messages très attachants que nous avons pu recevoir. Notre fille a pris cet après midi le plus incroyable des bains avec @lebaindesonia qui a été un des moments les plus émouvants que j’ai pu vivre. Je vous souhaite à toutes, (celles qui sont dans le même cas que moi ☺️ ) de pouvoir vivre un moment aussi magique avec votre nouveau né. On vous envoie plein d’amour et on vous aime ? avec toute notre tendresse ? Naya Vincent & moi" a-t-elle écrit sous leur premier selfie de famille sur Instagram.

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Seulement voilà, ce premier accouchement ne s'est pas passé comme prévu pour la petite amie de Vincent. Très émue, Mélanie Dedigama a raconté sur Instagram: "Vous savez que moi je voulais accoucher par voie basse... On a tout fait pour que ce soit le cas, le mardi où je vous ai dit qu'avec Vincent, moi, je disais que c'était mouillé, lui disait que non. En fin de compte, c'était bien mouillé, je me suis fissurée ma poche des eaux. Je pense pas que ce soit la faute du kiné, je pense juste que voilà, à force, ça s'est fissuré ! Suite à ça, ils m'ont évidemment gardé, ça a duré plusieurs jours parce qu'elle était bien dans mon ventre, elle n'avait pas du tout envie de sortir... Ils ont fini par me déclencher donc ils m'ont descendue en salle de naissance, ils m'ont mis un espèce de tampon pour me déclencher, ils m'ont laissé sous monitoring pendant deux heures... J'ai eu quoi, peut-être deux contractions, le souci, c'est que moi je ne les sentais pas, ça ne me faisait pas mal, je ne ressentais rien..."

Elle a ensuite ajouté: "Vincent a commencé à flipper, il a dit : 'Appelle quelqu'un.' Sauf que moi, j'avais vraiment envie de tenir le plus longtemps possible car je savais que plus j'avais de contractions sans péridurales, plus elle pouvait descendre bien comme il faut pour que je puisse accoucher par voie basse. Au final, j'ai fini par céder parce que c'est vrai que la douleur était trop forte et Vincent a commencé à être vraiment pas bien donc très rapidement, ils m'ont posé la péridurale. Je tiens vraiment à remercier les sages-femmes et l'équipe, toutes ses personnes qui se sont occupées de moi pendant ce séjour, ils ont tous été extraordinaires avec ma fille, avec moi (...) Le souci a été que Naya au monito elle est passé de 160 à son cœur à presque en dessous de 50, donc ça a chuté une première fois. Ils m'ont injecté un produit dans la perfusion et ils ont regardé comment ça se passait. La deuxième fois où ça a fait ça, directement, ils n'ont plus discutés et se sont mis d'accord , que quoi qu'il arrivait, il fallait faire pour le bien-être de ma fille et que moi, je ne comptais pas là-dedans. Évidemment, les équipes étaient tellement extraordinaires qu'ils ont fait en sorte que pour ma fille et pour moi, tout se passe super bien. En trente secondes, j'ai été amené au bloc, mon gynécologue m'a ouvert. Il m'a ouvert aussi parce que je n'étais pas assez dilatée et il m'a dit que si j'avais été dilatée à huit ou neuf on aurait peut-être attendu un tout petit peu pour voir si ça pouvait passer... Donc voilà, mon gynéco a été extraordinaire, ils m'ont ouvert tellement rapidement... J'étais shooté, je ne sentais pas du tout mes jambes, mon bassin, rien, parce qu'ils m'avaient réinjecté un produit pour pouvoir m'ouvrir..."

Fort heureusement, Mélanie Dedigama a pu compter sur son chéri: "Vincent était avec moi évidemment, et ça s'est passé tellement vite que quand j'ai entendu Naya crier, pleurer, je me suis dit : 'Déjà ?' C'était incroyable (...) Ensuite elle est partie avec Vincent et ils lui ont fait faire du peau à peau et ils m'ont recousu pendant une vingtaine de minutes (...) Le lendemain, on a les jambes qui se réveillent, on a la douleur bien évidemment... On a une cicatrice qui est parfaite, qui est 'magnifique' pour les médecins, nous, on la voit pas heureusement, car elle est sous le pansement, mais la douleur est quand même très très forte et il faut se lever, aller aux toilettes, il faut prendre sa douche, il faut s'occuper de son bébé et voilà une nouvelle aventure commence (...) En tout cas, les équipes ont été extraordinaires, Vincent a été plus qu'extraordinaire, vraiment... Je l'aime tellement. Il est toute ma vie avec ma fille, franchement, c'est le meilleur papa du monde. C'est le meilleur mec du monde donc voilà."

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