Le journaliste français, Bernard de la Villardière s'est confié sur ses différentes expériences lors d'un interview...
Avec son air noble et sa tenue impeccable, le journaliste d'enquête exclusive n'est pas aussi stable qu'on le pensait. Toujours fourré entre deux avions, l'homme de 58 ans serait accro aux nouvelles expériences et notamment aux voyages. Dans une interview consacrée au numéro VSD, Bernard se confie sur ses envies et ses consommations. Son goût de la découverte est un héritage familial. En effet, avec sa mère d'origine argentine, le Liban, l’Argentine et l'Italie où il a vécu quelques temps, on comprend mieux pourquoi il a la bougeotte.
Grâce a ses multiples expériences, le journaliste nous a fait part de ses anecdotes les plus émoustillantes. Ces histoires ont fait de lui un personnage emblématique. Il nous a retracé quelques petits potins assez sympa, notamment lors de ses prises de drogue "Il se trouve que je fumais déjà pas mal à l’époque mais c’était du bon cannabis, pas comme aujourd’hui. Puis j’ai fait une expérience avec des champignons hallucinogènes au Népal, à Pokhara. Expériences de sortie du corps : ‘Bernard réintègre ton corps’. Ça je ne l’ai pas raconté dans mon livre, de peur de donner un mauvais exemple aux plus jeunes."
En parlant de jeunes... ce dernier se confie à nouveau, mais cette fois ci, avec une anecdote plus intime sur sa famille " Il y a quelques années, j’étais en Afghanistan et ma femme m’appelle en disant : ‘Ouais, tu voyages partout, t’as pas le temps de t’occuper de ton fils ! Je viens de retrouver une petite pipette de hashish. Un petit chilum’. Ma femme connaît ces trucs là comme moi ; nous sommes de la même génération. Je lui dit : ‘passe moi Marc’. Je commence à l'engueuler mais il me dit que ce n’est pas à lui. Que ça ne lui appartient pas. ‘Et en plus, tu mens !’. Bon, je raccroche puis je réfléchis… je rappelle Anne pour lui demander de me décrire l’objet. ‘C’est en terre cuite, c’est rouge’. Je lui ai dit : ‘laisse tomber, c’est moi’. Je l’avais ramené Afghanistan quelques temps plus tôt. Ou peut être de Jamaïque. Je me suis retrouvé en train de présenter mes excuses à mon fils". Situation assez gênante il faut dire.
Il faut dire que Bernard en a eu des expériences et pas que croustillantes si vous voyez ce que je veux dire ! Dans son métier de reporter, ce dernier est confronté à des sujets parfois dits "sensibles" notamment la prostitution. Selon Téléstar, à la question "Avez vous déjà cédé à la tentation de certaines filles faisant commerce de leur corps?" Bernard aurait répondu "Non. Et pourtant, on a tenté d’en mettre dans mon lit. Outre le fait d’être marié, je trouve insupportable de donner de l’argent à une fille pour faire l’amour avec elle… "
Le noble journaliste semble plus dévergondé qu'on ne le pensait ! Et vous, pensiez vous cela de monsieur de la Villardière ?
A.LB