Les audiences étant au plus bas, Le Mag, émission phare d’NRJ 12, pourrait disparaître d’ici peu. On vous en dit plus.
Alors que Le Mag avait réussi à enregistrer des audiences records, montant jusqu’à 742.000 téléspectateurs en avril dernier, il semblerait que le programme de Matthieu Delormeau commence à s’essouffler. En effet, mercredi l’émission n’a attiré que 133 000 personnes devant leur poste de télévision et la pire audience enregistrée était celle de jeudi, avec seulement 124 000 téléspectateurs. Cela fait maintenant quelques mois que les audiences ne cessent de chuter.
NRJ 12 semble ne plus savoir comment gérer la chose. Depuis quelques temps, plusieurs chroniqueurs ont été remercié, suite à ce manque de résultat. Nous pouvons ici prendre l’exemple de Caroline Receveur, qui tenait le rôle de co-animatrice de l’émission. La jeune femme a prétexté qu’elle avait de nouveaux projets professionnels l’attendant à Miami, mais depuis sa déclaration, elle n’a toujours pas traversé l’Atlantique à ce jour.
Mais ce n’est pas la seule dans ce cas. Julie Ricci, qui avait intégré l’équipe du Mag le 10 novembre dernier a dû abandonner son poste pour des raisons financières. En effet, la jolie brune vit à Lyon et devait donc faire à chaque fois le déplacement jusqu’à Paris. Seulement, la production de l’émission ne lui payait ni le transport, ni l’hébergement et la rémunérait seulement 200 euros par chronique, ce qui est très peu. Julie Ricci, n’arrivait donc pas à entrer dans ses frais et a donc pris la décision de quitter Le Mag un mois et demi après son arrivée. Un blogueur a également affirmé que Linda, doyenne des Anges de la téléréalité 6 et chroniqueuse de l’émission, avait été remerciée pour ses prestations.
NRJ 12 cherche donc à réduire les dépenses et cherche une solution pour augmenter les audiences de l’émission. Cependant, la chaîne compte sur la diffusion des Anges de la téléréalité 7 pour booster l’audimat, reste à savoir si Le Mag ne sera pas passé sous le cap des 100 000 téléspectateurs et donc déprogrammé d’ici-là.
Maryne