Il y a quelques années, Julien Bert avait été suspecté de "détention et importation de drogues ainsi que pour association de malfaiteurs". C'était en 2015, aujourd'hui la sentence de l'ex de Milla est tombée.
Il y a quelques semaines, l'émission de Cyril Hanouna , Touche Pas à Mon Poste, avait évoqué les dérives de la téléréalité, Emilie Amar était présente sur le plateau et Julien Bert était aussi au coeur des discussions, suite aux accusations de trafic de drogue. Gilles Verdez avait affirmé avoir eu Julien Bert au téléphone , qui lui confiait attendre son procès. Le sujet n'a pas du tout plu au candidat qui a réagi sur les réseaux sociaux : « TPMP… Pour qui vous me faites passer ? Vous imaginez que j’ai une famille ? Vous employez des mots qui ne sont pas les bons. J’ai rien fait. Je n’ai pas touché à la drogue. Ni de loin, ni de près. J’ai traîné avec les mauvaises personnes. (…) Franchement j’aimais de moins en moins TPMP. Ça fait un petit moment que j’ai décroché. (…) Franchement je n’ai pas les mots. J’ai honte, je n’ai même pas envie de sortir dans la rue. Moi je sais que j’ai rien fait. Mais là, ils me font passer pour un trafiquant de drogue (…). » En effet, en 2015, la Brigade des Stup' avait arrêté le candidat pour détention et importation de drogues ainsi que pour association de malfaiteurs, lors d’un voyage à Punta Cana en 2014.
Mais le procès de Julien a bel et bien eu lieu et d'après le quotidien le Progrès, le candidat « est déclaré coupable, et condamné à deux ans de prison dont six mois avec sursis. Il devra en outre s’acquitter d’une amende de 20.000 euros. » C'est donc un coup dur pour l'ex de Carla Moreau, hier, Julien Bert avait pris la parole sur son éventuelle condamnation : « Je ne suis pas en prison comme certains médias l’affirment haut et fort je suis réellement dans le train en train de rentrer chez moi. (…) La sanction que j’ai eu par le tribunal ne regarde que moi et ma famille ! ».
À ce moment précis de la journée, Julien Bert ne s'est toujours pas exprimé, on vous informera dès que l'on en saura plus.
Nina Ramamonjisoa
