Après la polémique provoquée par sa participation aux "Princes et Princesses de l'amour 8", Zoubir s'est retrouvé au cœur d'une enquête par sa hiérarchie au sein de la Police. Invité sur le plateau de "Touche pas à mon poste", le jeune homme s'est livré à ce sujet. STAR24 vous donne tous les détails.
Il y a quelques heures, Zoubir faisait parler de lui en dehors des épisodes des Princes de l'amour 8. En effet, le prétendant de Sara fait craquer les téléspectateurs... mais aussi les internautes avec ses vidéos sur Tik Tok. Le hic ? Il n'hésite pas à porter son uniforme d'agent de police pour certaines de ses publications et a pris un arrêt de travail pour partir en tournage. De là, une enquête a été lancée pour savoir s'il y a eu "manquement au devoir exigé par sa fonction (...) Après un signalement ‘sur la plate-forme de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN)’ (…) des ‘enquêtes administratives » ont été ouvertes par son employeur" selon le Parisien.
Sur le plateau de Touche pas à mon poste, Zoubir a été invité à parler de ce scandale. Ainsi, le candidat a déclaré: "Ça faisait déjà un petit moment que j'avais des soucis là-bas (...) Je n'arrivais plus à me reconnaître. Au moment où je suis parti sur les Princes, j'étais déjà en arrêt (...) Au bout d'un moment, je me suis heurté à pas mal de trucs, au manque de reconnaissance, à certains comportements xénophobes. Il y a pas mal de comportements très fermés d'esprit qui m'ont gêné. Ce n'est pas l'institution en soi, parce que c'est noble la police. J'ai été victime de racisme mais pas directement en fait".
Zoubir a ajouté: "Une femme est venue porter plainte pour viol à 18H55 et le plaintier a dit : 'elle n'aurait pas pu porter plainte un autre jour ?' (...) J'avais envie de changer un peu de domaine. Je me suis dit que c'était l'occasion de m'épanouir et voir quelque chose de nouveau. Je n'ai pas décliné ma qualité de policier, je n'ai rien fait d'indigne donc c'est pas censé porter préjudice (...) Vous savez comment ça marche, il faut être statutaire pour démissionner sans payer. Si je pars maintenant, je paye 12 000 euros. Je vais être honnête avec vous, je roule pas sur l'or, je les ai pas les 12 000 euros". Résultat, il chercherait autre chose et pourquoi pas rebondir dans l'audiovisuel.