Il y a quelques jours de cela, la situation sanitaire s'est de nouveau dégradée en France. Afin d'éviter une quatrième vague de Coronavirus ainsi que de son variant delta, Emmanuel Macron a resserré la visse et a décidé d'étendre le pass sanitaire. STAR24 vous propose d'en découvrir davantage sur ce qui va changer dans les semaines à venir.
L'été a repris malgré la météo qui laisse à désirer et la réouverture des concerts ainsi que des boîtes de nuit a fait la joie de nombreuses personnes. Malheureusement, la situation risque de ne pas s'arranger avec le temps. Conscient de la propagation du COVID-19 et de son variant delta, Emmanuel Macron a décidé de prendre des mesures beaucoup plus strictes. Les premières seront actives à partir de ce 21 juillet prochain.
Pass Sanitaire : ce qui va changer à partir du 21 juillet
Déjà mis en place depuis plusieurs semaines, le Pass Sanitaire va être étendu. Pour ceux qui ne savent toujours pas de quoi il s'agit, cela équivaut soit à une preuve d'une vaccination complète soit d'un test PCR / antigénique négatif de moins de 48 heures. Il sera obligataire à partir de la semaine prochaine dans les établissements pouvant accueillir plus de 50 personnes comme par exemple les lieux de culture et de loisirs (cinémas, théâtres, salles de concerts, salles de sport...).
Les choses vont se corser en août puisque le reste des lieux de rencontres comme les bars, cafés et restaurants, mais également les avions, les trains, les cars ainsi que les hôpitaux et établissements médico-sociaux vont aussi nécessiter de ce pass sanitaire. A partir de cet automne, les tests PCR ne seront plus gratuits puisqu'ils coûteront 50 euros et 25 euros pour les antigéniques.
A partir du 15 septembre, les personnels soignants et non soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite et des établissements pour personnes en situation de handicap auront l'obligation d'avoir été vaccinés. De plus, un couvre-feu a été déclaré en Martinique et à La Réunion. De ce fait, la vaccination devient presque une option irrévocable. A tel point que Doctolib a reçu une surcharge de prise de rendez-vous pour s'injecter sa première dose.