Quelques jours après la naissance du petit Tiago, une annonce d'un communiqué de presse apparaissait afin d’annoncer la diffusion prochaine d’une émission nommée « Manon + Julien = Bébé Fraté ». La jeune maman en dit plus aux internautes et répond aux haters …
C'est dans les Marseillais Australia que le couple Manon/Julien ont découvert le sexe de leur bébé. Une annonce qui leur a vraiment fait plaisir, surtout au roi des problèmes Julien qui attendait d'avoir un petit garçon pour "jouer au football avec". Le couple a partagé toute la grossesse de Manon sur les réseaux sociaux et aujourd'hui les futurs mariés ont enfin accueilli leur nouveau fraté au sein de leur famille puisque leur petit bébé a pointé le petit bout de son nez. Depuis, l'annonce d'une émission dédiée spécialement au nouveau né Tiago Tanti a fait son apparition et n'a pas manqué de faire réagir les fans des jeunes parents mais également leurs détracteurs. La marseillaise, contente d'avoir retrouvé son ventre quasiment plat seulement cinq jours après avoir accouché, a décidé d'expliquer sur son compte Snapchat, les motivations du couple à partager ces moments intimes à l’écran. "C'est un documentaire qu'on a fait avec Julien, sur les plus beaux jours de nos vies, sur le avant la naissance de Tiago, la naissance de Tiago, le après. C'est vrai qu'on a longtemps longtemps hésité si on allait vous le partager ou pas. Quoi qu'il en soit, une chose qui était sûre c'est que je tenais à ce que la naissance de Tiago soit filmé." a t-elle déclaré.
La jeune femme raconte également une anecdote... quand elle était petite sa mère avait filmé sa naissance et lui avait donné pour son 18ème anniversaire. Elle a été très émue face à ce cadeau et a adoré l'idée, c'est pourquoi elle a voulu faire de même pour son fils Tiago. C'est à dire tout filmer du début à la fin de sa venue, non seulement pour eux et pour son fils mais aussi pour les fans du couple qui les soutiennent depuis le début. En avertissant bien sûr les internautes qui sont réticents avec cette idée, de ne pas regarder le documentaire.
Lisa Herrera