L'ancien candidat de SS5, Zelko s'est confié sur la télé réalité dans son pays, la Serbie et ça fait peur !
Hier soir, un des jumeaux de la saison 5 de Secret Story, Zelko invité sur Le Mag Mad a fait des révélations très choquantes sur la télé réalité à l'étranger, notamment dans son pays natal, la Serbie.
En effet, il y a 3 ans, le jeune homme a fait une télé réalité en Serbie. Le Mad Mag a commencé par diffuser quelques extraits du jumeau dans celle-ci sur laquelle nous pouvons y voir le Serbe très proche d'une femme dans une piscine, et surtout en pleins ébats sexuels dans une chambre grâce aux caméras infrarouges.
Il revient sur ces images et nous fait part de sa dernière télé réalité qu'il dit beaucoup plus trash : "J’ai fait un truc de fou ! Ecoutez-bien : ici, c’est cadeau hein. Les gens me connaissent ! Si me suis évadé, imaginez comment c’est !" Le chroniqueur Benoît Dubois qui a du mal à comprendre interroge à nouveau le jeune homme. Celui-ci répond : "Même moi j'ai dû m'évader Benoît !". Zelko confie s'être évadé au bout de 6 mois.
Il ajoute : "Il y a 66 minutes qui a fait un reportage, ça va passer bientôt là. En fait, c’est une chaîne de malades, corrompue. Le patron, c’est un oligarque des Balkans et il tient la chaîne, c'est un ouf. Il finance les campagnes du Président. Du coup, il est intouchable et le CSA ne peut rien faire. Et les gens, ils sont bloqués cinq ans."
Selon Benoît, en France, heureusement, les candidats de télé réalité sont protégés car il y a des lois d'enfermement.
De ce fait, Zelko termine en parlant de son expérience vécu en France : "Moi j'avais critiqué plein de télé réalité en France, plein de productions parce que je trouvais que c'était un peu scénarisé ou orienté, mais en fin de compte ici c'est magnifique comparé à là bas, en Serbie. Il confie également que l'un des candidats avec qui il a passé 6 mois y est depuis maintenant 1 an ! Une chose est sûre cela ne risque pas d'arriver en France.
Et vous, pensez-vous que de la télé réalité à l'étranger ? Vont-ils trop loin ?
J.C
