Reine du buzz, star de la télé réalité, à seulement 25 ans, Nabilla est déjà connue du monde entier. Avec elle, c’est à double tranchant : on l’adore ou on la déteste! Dans une interview accordée à 50 min Inside, elle est revenue sur la séparation de ses parents, qui a totalement changé le court de sa vie.
Nabilla, c’est le métissage dans toute sa splendeur. En effet, née en haute savoie d’un père d’origine algérienne et d’une mère suisse-italienne, elle est issue d’une union très… internationale. Et malgré des apparences quelques peu superficielles, la bimbo le revendique : « la famille, c’est quelque chose de très important ». Cependant, c’est à l’âge de 13 ans que la fillette apprend une terrible nouvelle : la séparation de ses parents.
Au sein de son éducation, deux différents partis pris : son père qu’elle qualifie de « très sévère » et sa mère, plus laxiste mais un peu trop absente. Si Nabilla est aujourd’hui devenue ce qu’elle est, c’est en parti grâce à ce divorce. En effet c’est avec le temps qu’elle a pris du recul sur la situation et en vient même à penser que leur séparation lui a été bénéfique : « c’était peu être un mal pour un bien parce que ça m’a laissé plus de liberté et j’ai pu faire les choses que j’aime. ».
Si on compare beaucoup Nabilla à Kim Kardashian, ce n’est pas un hasard. En effet, la française a même avoué qu’elle s’en était inspirée : « à 13 ans, je rêvais de célébrité (…) Kim Kardashian m’a beaucoup inspiré à l’époque (...) arriver à faire quelque chose de rien ». Pari réussi donc, puisque Nabilla, alors inconnu du grand public, s’était fait une place parmi les plus grands noms de la télé-réalité, en particulier grâce à une de ses phrases cultes lors du tournage des Anges : « Non mais t’es une fille et t’as pas de shampoing, non mais Allô quoi! ».
Malgré la proximité de Nabilla avec ses parents, son excentricité l’a beaucoup éloigné de son père. Tout deux en sont même venus à couper les ponts, ce dernier ne supportant pas les tenus trop osées et l’attitude trop vulgaire de sa fille. Cependant, il semblerait que les tensions soient apaisées : « J'avais un peu changé ma voix, pour faire la journaliste, lui poser des questions. J'ai fini par dire: 'Mais vous l'aimez toujours, votre fille?' Quand il a dit oui, j'ai bouclé et fondu en larmes. Il va découvrir que c'était moi dans le livre, c'est ouf », a-t'elle témoigné dans un de ses livres.
Tout est bien qui finit bien!