Gigi Hadid : Sa dernière couverture pour Vogue fait polémique

il y a 6 ans - Article rédigé par la rédaction du magazine Star24

Facebook Twitter Copy URL

Gigi Hadid apparaît sur la couverture de la version italienne de Vogue, ce mois-ci. Une bonne chose pour le mannequin internationale, très sollicitée dans l'industrie de la mode, et pourtant, sa photo crée un bad buzz.

La jeune mannequin se retrouve en couverture de Vogue Italia méconnaissable tant elle a été photoshopée. Vêtue d'une combinaison Dolce & Gabanna, elle pose devant l'objectif de Steven Klein pour sa série de photographies High Voltage. Sa peau est tellement brunie et retouchée qu'on ne la reconnaît même pas. La jeune femme se retrouve alors dans une polémique sur les réseaux sociaux puisqu'elle partage avec fierté sa couverture de magazine sur Instagram. Les internautes l'accusent alors de "blackface" et de racisme. Face à toute ces accusations, elle décide donc de supprimer la publication.

star24-gigi-hadid-vogue-italia-blackface

Malheureusement, cela n'a pas empêché la polémique d'enfler d'heure en heure. Et suite à cela, Gigi Hadid publie un nouveau post d'elle sur Instagram où elle rentre de son shooting, le mois dernier, en jogging et basket: «Ceci est une photo de moi en train de rentrer de mon shooting avec Vogue le 3 avril… Vous pouvez voir mon niveau de bronzage. Je vous prie de comprendre que mon contrôle sur le shooting 1/est inexistant en termes de direction créative et 2/cesse complètement quand je quitte le studio. Tout ce qui est fait à une photo en postproduction est entièrement hors de mon contrôle », a-t-elle écrit sur le réseau social. Elle a ainsi voulu montrer qu'elle n'avait aucun contrôle sur ce qui se passe après le shooting et que c'est le photographe, Steven Klein, qui souhaite retoucher comme cela pour son projet. Le magazine italien affirme la même chose que le photographe, en assumant et soutenant le travail de Steven Klein mais s'excuse également, dans un communiqué de presse auprès des personnes ayant été offensées.

Justine LOPES

 

 

Articles similaires